Installation view of “Siena: The Rise of
Painting, 1300–1350,” on view Oct. 13, 2024–Jan. 26, 2025 at the
Metropolitan Museum of Art in New York (photo: Eileen Travell, courtesy
of The Met).
Pour une visite à New York ce sera un peu juste, mais l'exposition ira à la National Gallery de Londres au printemps.
Simone Martini, “Christ Discovered in the Temple” (1342) (National Museums Liverpool)
Duccio di Buoninsegna, Madonna and Child. Tempera and gold on wood, 9 3/8 × 6 1/2 inches. Courtesy the Metropolitan Museum of Art.
Barna da Siena, “The Mystic Marriage of Saint Catherine” (circa 1340)
Credit Museum of Fine Arts, Boston, Sarah Wyman Whitman Fund
“Christ Carrying the Cross” (circa 1335) (Paris, Musée du Louvre)
Installation view: Siena: The Rise of Painting, 1300–1350, The Metropolitan Museum of Art, New York, 2024–25. Courtesy the Metropolitan Museum of Art
Duccio di Buoninsegna, The Virgin and Child with Saints Dominic and Aurea, and Patriarchs and Prophets (ca. 1312-15) in "Siena: The Rise of Painting,1300-1350” at the Metropolitan Museum of Art. Photo by Ben Davis.
Simone Martini, Saint John the Evangelist (1320) in “Siena: The Rise of Painting, 1300-1350.” Photo by Ben Davis.
Detail of Duccio di Buoninsegna, Temptation of Christ on the Mountain (1308–11). Photo by Ben Davis.
Unidentified French artist, Gabled Polytych (1380s). Photo by Ben Davis.
Pietro Lorenzetti, Tarlati Polyptych (1320) in “Siena: The Rise of Painting, 1300-1350.” Photo by Ben Davis.
Pietro Lorenzetti, Tarlati Polyptych (1320) in “Siena: The Rise of Painting, 1300-1350.” Photo by Ben Davis.
Duccio di Buoninsegna, Maestà Altarpiece (ca. 1308–1311). Collection of Siena Cathedral.
Encore une accumulation de merveilles ....avec au milieu le souvenir de mes 3 passages à Sienne ___ toujours trop courts . Un frangin ,qui avait les moyens, y allait tous les ans pour le Palio ..Rhââ pas lovely ! Mais ...Revenons à nos moutons...et au regrettable écueil du polyPtyque en ivoire. On peut dire qu'il m'a fait naviguer et chercher et chercher encore.......Pour en trouver un qui ne soit pas flou. Hélas, c'est à croire que cette merveille n'a jamais été photographié qu'une seul fois et par un seul photographe : Ben Davis ...ici il est un peu moins flou , c'est donc blogspot qui ne lui rend pas justice___ [ ou qui aggrave la situation]__
La naissance des grands magasins. Mode, design, jouets, publicité, 1852-1925 Musée des Arts décoratifs, Paris Jusqu'au 13 octobre 2024 L'exposition au Musée des Arts décoratifs s’intéresse à la naissance des grands magasins dans le contexte historique, politique et social du Second Empire, à leur développement, à leur âge d’or et enfin à leur consécration lors de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925. À partir des collections de publicité, de mode, de jouet et d’arts décoratifs de l’institution, le parcours s’attache à montrer en quoi les grands magasins sont les témoins de la révolution industrielle, des transformations urbanistiques du Baron Haussmann, de l’ascension de la bourgeoisie autant que de la construction de l’image de la Parisienne.
Article de Brigit Katz à propos de l'exposition Tissot, Women and Time Art Gallery of Ontario (Toronto), jusqu'au 29 juin 2025 Sunday Morning , James Tissot, 1883, etching and drypoint on paper Rendu dans des nuances dramatiques de noir, une estampe de 1883 de l'artiste James Tissot représente une jeune femme fixant le spectateur avec de grands yeux. Sa tenue est éblouissante : des manches bordées de fourrure, un large chapeau orné de rubans, un imposant arrangement de nœuds jaillissant de son col. Le titre de l'œuvre, Sunday Morning , ainsi que la Bible qu’elle serre dans une main gantée, suggèrent qu’elle se rend à l’église. Pourtant, son regard est pensif, son front légèrement plissé. Elle semble inquiète. Comme dans de nombreuses œuvres de Tissot, la scène est ambiguë mais invite à une interprétation malicieuse. Pourquoi cette belle femme est-elle si mal à l’aise en allant à l’église ? A-t-elle péché ? Si oui, avec qui ? Le talent de Tissot pour les sous-e...
C'est l'occasion de remercier tous ceux qui font vivre la Pinacothèque Virtuelle , en particulier les institutions qui nous donnent accès leurs 'pressrooms'. La plupart du temps, les institutions françaises préfèrent les journalistes en carte et les influenceurs des réseaux sociaux. A l'étranger, c'est souvent plus ouvert. C'est le choix des uns et des autres. Merci surtout à tous les visiteurs de la Pinacothèque Virtuelle. Chacun de leurs passages est un encouragement. Otto DIX - Frontsoldat in Brüssel HIT PARADE 2024 1 : Otto Dix - Der Krieg (50 eaux-fortes, part 1) 2 : Otto Dix - Der Krieg (50 eaux-fortes, part 2) 3 : Battre le fer tant qu'il est chaud. L'art des forgerons africains 4 : Emergence et influence du nu sur l'art de la Renaissance 5 : Persée et Andromède 6 : Salle 432 - Picasso à l'Ermitage 7 : Louis-Léopold BOILLY - Scènes de la vie parisienne à la National Gallery 8 : Et la Poésie dans tout ça ? - Le cycle du Titien pour...
Pour la première fois, le musée du Louvre consacre une exposition à Cimabue, l’un des artistes les plus importants du 13e siècle. Elle est le fruit de deux actualités « cimabuesques » de grande importance pour le musée : la restauration de la Maestà et l’acquisition d’un panneau inédit de Cimabue redécouvert en France en 2019 et classé Trésor national, La Dérision du Christ . Revoir Cimabue. Aux origines de la peinture italienne Musée du Louvre, jusqu'au 12 mai 2025 Cimabue, Maestà (Paris, Musée du Louvre) Les deux tableaux, dont la restauration s’est achevée en 2024, constituent le point de départ de cette exposition qui, en réunissant une quarantaine d’œuvres, ambitionne de mettre en lumière l’extraordinaire richesse et la nouveauté incontestable de l’art de Cimabue. L’artiste fut l’un des premiers à ouvrir la voie du naturalisme dans la peinture occidentale, en cherchant à représenter le monde, les objets et les corps tels qu’ils existent. Avec lui, les ...
Encore une accumulation de merveilles ....avec au milieu le souvenir de mes 3 passages à Sienne ___ toujours trop courts . Un frangin ,qui avait les moyens, y allait tous les ans pour le Palio ..Rhââ pas lovely ! Mais ...Revenons à nos moutons...et au regrettable écueil du polyPtyque en ivoire. On peut dire qu'il m'a fait naviguer et chercher et chercher encore.......Pour en trouver un qui ne soit pas flou. Hélas, c'est à croire que cette merveille n'a jamais été photographié qu'une seul fois et par un seul photographe : Ben Davis ...ici il est un peu moins flou , c'est donc blogspot qui ne lui rend pas justice___ [ ou qui aggrave la situation]__
RépondreSupprimer