Ames sauvages - Le symbolisme dans les pays baltes

Janis Rozentāls. Arcadia. 1910. LNMA collection 

Les pays baltes, Estonie, Lettonie et Lituanie, se sont constitués en états indépendants peu après la fin de la première Guerre mondiale. Pour célébrer ce centenaire, cette exposition invite à découvrir le symbolisme balte, des années 1890 aux années 1920-1930.

Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes.
Musée d'Orsay (Paris), jusqu'au 15 juillet 2018
Commissaire de l'exposition : Rodolphe Rapetti




Johans Valters (1869–1932). River Landscape. 1904. Oil on canvas. Collection of the Latvian National Museum of Art
Le symbolisme européen et l'émancipation de la conscience qu'il véhicule sont indissociables dans les pays baltes de leur indépendance. L'exposition retrace les jeux d'influences et de résistances à travers lesquels les artistes ont forgé un langage propre à leur univers.
En ayant recours aux éléments de la culture populaire, du folklore et des légendes locales, ainsi qu'à la singularité de leurs paysages, ils font émerger un art d'une réelle originalité.

Si l'on excepte le Lituanien Mikalojus Konstantinas Čiurlionis, peintre et compositeur mondialement célèbre, la plupart des artistes sont remis en lumière pour la première fois hors de leur pays.

Janis Rozentāls (1866–1916). Death. 1897. Oil on canvas. Collection of the Latvian National Museum of Art

Janis Rozentāls (1866–1916). The Princess and the Monkey. 1913. Oil on canvas. Collection of the Latvian National Museum of Art



Mikalojus Konstantinas Čiurlionis (1875–1911). Lithuanian graveyard. 1909. Tempera and watercolour on cardboard. Collection of the M. K. Čiurlionis National Museum of Art

Kristjan Raud (1865–1943). Sacrifice. 1935. Tempera on canvas. Collection of the Art Museum of Estonia







Konrad Mägi - Paysage de Norvège au pin - Musée d'art d'Estonie




Aleksandrs Romans - Paysage avec cavalier - 1910

Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes.
Musée d'Orsay (Paris), jusqu'au 15 juillet 2018
Commissaire de l'exposition : Rodolphe Rapetti

Commentaires

  1. C'est honteux que les experts français d'art acceptent les mensonges des autorités de la Lituanie en présentant à très importante exposition des pays baltes à Paris, les œuvres des peintres POLONAIS, colle s'ils étaient lituaniens. Même sur leurs tombes, n’importe ou sont ils morts et pas en Lituanie, il est marqué POLONAIS. Il s'agit avant tout des peintres comme: Ferdynand Ruszczyc ("Nec mergitur","Le Passé","Le Printemps","Le Vent d'automne",vrai titre""Vide/Vieux nid)),
    Stanisław Jarocki ("La Samogitie sacrée"),
    Bolesław Bujko Buyko ("Nu de jeune fille"),
    Antoni Wiwulski ("Buste de jeune fille).
    Tous ces artistes sont reconnu dans le monde comme Polonais, aux racines profondes polonaises, sauf par la Lituanie. Cet état considère que parce qu'ils habitaient pendant un certain temps à Wilno Polonais en plus, ils sont d'office Lituaniens depuis seulement 1992. Il y a beaucoup plus de cas des Artistes Polonais dont ils changent le nom polonais en lituanien. C'est une situation inacceptable et en plus, ils ont le culot de présenter les peintres que j'ai mentionnés comme Lituaniens. Toutes leurs peintures se trouvaient dans le Musée Polonais, construit par l'état Polonais et que les Soviétiques ont réquisitionné et donc volé à la Pologne et maintenant a été récupéré par la Lituanie, avec toutes les oeuvres et documents concernant la Pologne. Ils n'ont rien voulu restituer.
    J'espère que vous prendrez mon commentaire au sérieux et informerez les organisateurs (je crois le Musée d'Orsay) de cette exposition qui a eu lieu un certain temps. C'est dans l'intérêt du Musé et de leurs critiques d'art de faire la rectification et de la publier officiellement dans las médias (y compris vous)importants qui ont tellement parlé de cette exposition. Je prendrai aussi des mesures, pour dénoncer l'état de Lituanie pour ce mensonge offensant non seulement de l'état Polonais mais aussi la France, en dupant et ridiculisant tous les "experts français d'art" confirmés. Personne, ni vous, a réagi jusqu'à présent et le mensonge continue.
    Mes salutations , Anna Durand Deska.

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